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...
Le chat noir me regarde
dans sa lune rouge.
Rouge,
la plus rouge…
la lune, qui est rouge
cette fois
comme elle l'a jamais été.
Tremble.
Tremble dans le miroir
plus profond, d'une Seine profonde et
perdu, oubliant
son paysage d'habitude,
oubliant
son monde.
Il est
déjà très loin,
loin de soirées
musicales et brillants,
loin
de l’amour,
du rire d'avant
loin de la douce lumière
de la nuit, moins noir
et moins rouge d'hier.
Loin, tellement noir, loin
de tout,
miaule
plus fort, miaule
tellement fort,
qu’il me rappelle,
me rappelle
qu’il est encore si vivant,
plus vivant
et plus noir,
noir, dans la lune
si rouge
de son cœur, épuisé,
pour sa bien-aimée, pour sa
rêvé...
Paris
.
.
.
en su luna roja.
Roja,
la más roja…
La luna, que está roja
esta vez
como nunca lo estuvo.
Tiembla.
Tiembla en el espejo
más profundo, de un Sena profundo y
perdido, olvidando
su paisaje de siempre,
olvidando
su mundo.
Está
ya muy lejos,
lejos de las noches
musicales y brillantes,
lejos
del amor,
de las risas de antes,
lejos de la dulce luz
de la noche, menos negra
y menos roja de ayer.
Lejos, tan negro, lejos
de todo,
maúlla
más fuerte, maúlla
tan fuerte,
que me recuerda
me recuerda
que está aún tan vivo,
más vivo
y más negro,
negro, en la luna
tan roja
de su corazón, exhausto,
por su amada, por su
soñada
París.
.
.
.